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Un blog pour parler de tout, de rien. De la Chine un petit peu quand même, ou je travail depuis Septembre 2006. A Fuzhou
plus precisemment. L'interet principal de ce blog est pour moi de rester en contact avec la famille et les amis restés en France ou dispersés un petit peu partout autour du globe... C'est aussi de donner quelques infos sur ce pays facinant qu'est la Chine. Pas toujours facile à vivre, mais qui m'etonne encore tous les jours...

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5 avril 2008 6 05 /04 /avril /2008 08:44
«Lorsque vous viendrez à Pékin, vous verrez des gratte-ciel, de vastes avenues, des stades futuristes et un peuple enthousiaste. C'est une vérité, mais une partie de la vérité seulement […] Vous pourriez ne pas voir que les fleurs, les sourires, l'harmonie et la prospérité s'enracinent dans les doléances, les larmes, l'emprisonnement, la torture et le sang.»



Citation de Hu Jia, condamné hier à trois ans et demi de prison pour "tentative de subversion du pouvoir de l'État".

Extrait d'un article du Figaro
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2 février 2008 6 02 /02 /février /2008 08:20


Et c'est pas des blagues... Sur Fuzhou (une des nouvelles 3 "fournaises" de Chine, il ne fait que 8 degrees dans ma chambre! Et nous sommes dans les plus "chanceux"!

Le Nouvel An chinois
naufragé par le froid
.
Sur un quai de la gare de Guangzhou, une jeune fille, victime d'un malaise, est extraite de la foule. La vague de froid qui paralyse le pays ne pouvait pas plus mal tomber : près de 180 millions de Chinois rentrent fêter le Nouvel An lunaire en famille.
Sur un quai de la gare de Guangzhou, une jeune fille, victime d'un malaise, est extraite de la foule. La vague de froid qui paralyse le pays ne pouvait pas plus mal tomber : près de 180 millions de Chinois rentrent fêter le Nouvel An lunaire en famille. Crédits photo : AP

Un froid glacial paralyse les trains et compromet le rite des trois générations sous un même toit.

C'est le quai du dépit. Le billet à peine présenté, on est déjà au bout du voyage. Yang Xiaoya, 25 ans, tirée à quatre épingles devant sa valise à roulettes toute neuve, hésite encore à faire demi-tour : «Et s'il restait une petite chance de partir ?» Autour d'elle, des voyageurs déboussolés à perte de vue démontrent le contraire.

Depuis le début de la semaine, la gare de Canton est au centre du plus peuplé des camps de transit de la planète. Ou bien, à l'échelle de la Chine, au cœur du plus grand rassemblement populaire depuis Tiananmen, en 1989. Pour un régime qui a horreur des mouvements de foules insatisfaites, c'est un vrai défi. La détresse des Chinois ordinaires vient ternir son prestige. Le spectacle de la désorganisation est une troisième gifle, à six mois de Jeux olympiques que Pékin claironne sans faille ni imprévu.

Dans l'attente d'un train fantôme, combien sont-ils à errer jour et nuit, sous une pluie glaciale ou dans les énormes halles de la Foire de Canton, transformées à la hâte en abri ? Près de 200 000, si l'on croit les estimations officielles, le visage fermé, mais sans colère, solidement canalisés par la police.

D'après le décompte des billets, ils sont beaucoup plus. Pour la période du 26 janvier au 5 février, la gare a vendu 3,5 millions de tickets roses, comme celui que Yang exhibe tel un talisman. Quelque 700 000 passagers ont quitté la ville avant que la neige et la glace ne viennent couper le trafic plus au nord. Environ 500 000 ont demandé le remboursement de leur titre. Cela laisse plus de 2 millions de passagers en souffrance, ou sur le point de se fondre dans une foule qui ne veut pas renoncer à sa semaine d'évasion.

La météo ne pouvait trouver meilleure date ou meilleur endroit pour jouer avec les nerfs des Chinois. D'ici à cinq jours l'Extrême-Orient basculera dans l'année du Rat, un Nouvel An lunaire qui doit rassembler dans leur village des familles éclatées à travers le pays. Pour la fête et son banquet, trois générations se retrouveront sous un même toit. C'est l'équivalent de Noël en rouge et or, au milieu des pétards et des porte-bonheur.

C'est aussi la plus vaste transhumance au monde, avec en principe 180 millions de voyageurs à l'aller comme au retour. «Je n'ai pas vu mon fils depuis deux ans, dit Zhang Long, 35 ans, naufragé qui tente de rejoindre son Hubei natal. J'ai dix jours de vacances par an. Je dois partir !» Yang, elle, comptait revoir ses parents dans le Shaanxi, avec son fiancé, au bout de 25 heures de train : «Ils vont se retrouver tout seuls à table.» Dans la foule, il suffit d'une rumeur pour déclencher la bousculade. L'espoir subsiste. Mais la fête a déjà un goût amer.

 

64 morts officiellement

 

La gare de Canton sert de plaque tournante aux 25 millions de mingongs, ouvriers-migrants qui font turbiner l'«usine du monde» dans la province côtière du Guangdong. Textile, chaussures, mobilier, électronique, jouet, des milliers d'usines balisent le delta, de Canton jusqu'à Hongkong. Elles ne s'arrêtent de tourner que pour le Nouvel An lunaire. C'est la «semaine d'or». Elle tranche avec les 65 heures heddomadaires payées 1 000 yuans par mois (100 euros).

Lorsque sera tiré le bilan de la vague de froid, l'épisode des mingongs restés à quai sous la pluie ne sera peut-être pas le plus désolant. La neige et la glace continuent d'isoler des pans entiers du centre de la Chine, Hunan, Hubei, Guizhou, Shaanxi. Le gel «affecte» 105 millions de Chinois et 2,5 millions d'entre eux sont sur des listes d'évacuation, se contentait de rapporter hier la presse chinoise.

Officiellement, les rigueurs de l'hiver ont fait 64 morts. Mais rien n'est dit des trains toujours figés par la tempête en rase campagne, des routes coupées du monde par la glace ou encore des régions d'altitude, inaccessibles. «Contre les inondations, vous pouvez mobiliser des millions de soldats. Avec la neige vous ne pouvez rien faire parce que les secours sont bloqués», dit à la télévision Wang Zhenyao, un responsable de la protection civile. La météo chinoise maintient jusqu'à la fin de la semaine ses prévisions de mauvais temps.

 

(le Figaro)

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23 janvier 2008 3 23 /01 /janvier /2008 04:53
.
Les Chinois qui vivent de la terre, comme ici, dans une vallée du Shaanxi, ne peuvent ni la vendre ni la transmettre. Les hiérarques du Parti sont devenus «les nouveaux seigneurs». Ils ont toute autorité pour louer, ou céder, une parcelle contre un dessous-de-table.

Oubliés du progrès, trois cents millions de paysans veulent contrôler la terre qu'ils travaillent. Pékin réplique par la prison et la censure.

Sur le Fleuve Jaune, le barrage de Sanmenxia est à l'image de Mao : l'ambition et l'échec unis dans la même démesure. L'audacieux rempart de béton, symbole dont la Chine révolutionnaire avait orné son billet de banque le plus imprimé, s'est retrouvé ensablé en moins de deux ans par le limon des plateaux. Deux générations plus tard, le réservoir est presque à sec. Il ne produit que 2 % des 1 200 mégawatts d'électricité prévus par ses concepteurs chinois et soviétiques.

La nature s'est vite vengée des ingénieurs qui voulaient «repousser les fleuves et tordre le sommet des montagnes.» Les hommes ont eu plus de patience. Mais leur révolte risque de faire du bruit. Au bout de cinquante ans, les héritiers des 400 000 paysans expulsés pour faire place au réservoir ont décidé de récupérer la propriété de leurs terres. C'est une attaque frontale contre le système légué par Mao. Le capitalisme triomphe en Chine mais la terre n'est jamais privée. En ville, le sol appartient à l'État. À la campagne, la propriété est «collective», c'est-à-dire aux mains du PC et de ses clercs.

À Dali et dans 75 villages du Shaanxi, au milieu des champs de blé, de maïs et de coton, la rébellion a commencé le 12 décembre parune proclamation répercutée par courriel. «Nous revendiquons la propriété de la terre et son utilisation de génération en génération, précise le texte porté par 70 000 signataires. Nous avons le droit de louer, d'acheter, de vendre et d'hériter. (…) Nous nous organisons pour distribuer la terre aux paysans et mettre fin à son appropriation illégale par les fonctionnaires.»

Pour le pouvoir, c'est une vraie déclarationde guerre. La propriété «socialiste» du sol est à peu près tout ce qui reste de l'orthodoxie communiste, avec la dictature du parti. La réplique n'a pas tardé, dans le Shaanxi comme dans trois autres provinces, dans le Nord-Est (Heilongjiang) et sur la côte (Jiangsu et Tianjin) : black-out des médias chinois, arrestation des chefs de file, interrogatoire des signataires et filature des journalistes étrangers.

Yu Changwu, inspirateur d'une pétition de 40 000 signatures dans l'ex-Mandchourie, a été le premier condamné vendredi dernier. Deux ans de rééducation par le travail, une peine infligée sans procès pour «occupation illégale de terres » et «subversion du pouvoir de l'État ». Avec ses amis, il a eu le tort de passer à l'acte. Il a pris les mesures des champs de son village et entrepris de diviser les arpents de soja gelés, pour donner à chacun sa part de propriété privée.

L'ampleur du défi est sujette à caution et son avenir immédiat incertain. Une enquête dans le Shaanxi montre que les signataires se coordonnent de province à province, qu'ils jouissent du soutien de dissidents pékinois, et même de connivence à l'intérieur de l'administration. Des proclamations analogues se préparent dans une douzaine de provinces, selon un organisateur. Il annonce «une seconde révolution de la terre», mais préfère garder l'anonymat. Le parti de Mao en a vu d'autres. Une répression et une censure sans faille pourraient en venir à bout, à l'approche de Jeux olympiques dont le régime entend faire à tout prix une vitrine impeccable.

Le signal est pourtant sans ambiguïté.Les paysans chinois, traditionnellement dociles, passent du fatalisme à la revendication. «Ils donnent de la voix et le PC aurait tort de le prendre à la légère, avertit Tang Jun, sociologue et directeur d'un centre de recherche universitaire à Pékin. La terre et sa propriété sont au cœur du malaise paysan. Il est temps de changer la donne.»

Les campagnes font vivre 750 millions de Chinois. Ils sont les laissés-pour-compte du «miracle» économique. Le revenu moyen y est à peine le tiers de celui des villes (400 euros contre 1 300, en 2007, selon les premières estimations officielles).Le niveau de vie y progresse moins vite.

Les ruraux se débattent dans une équation de misère. Ils représentent 40 % de la paysannerie mondiale mais doivent se contenter de 10 % des terres arables de la planète, d'après l'OCDE. «En Chine, les villes ressemblent à l'Occident, mais la campagne, c'est l'Afrique», a pu dire Huang Chunping, l'ingénieur en astronautique qui a expédié il y a quatre ans le premier Chinois en orbite.

Pour les paysans, la propriété individuelle n'est pas nécessairement le meilleur cri de ralliement. «C'est un objectif à long terme, reconnaît au téléphone Chen Sizhong, l'un des organisateurs de la proclamation du Shaanxi. Le vrai problème, c'est la corruption du gouvernement.Tout le monde se sert et personne ne défend les paysans.» Chen, arrêté pour un mois en décembre, n'a plus grand-chose à perdre. Il est en résidence surveillée, en attendant procès et condamnation.

La terre, «conquête» essentielle de la révolution paysanne voulue par Mao, est aujourd'hui le bout de gras des apparatchiks. Les Chinois qui vivent directement de la terre disposent d'un «droit d'usage», un bail de trente ans renouvelable. Ils ne peuvent ni vendre, ni transmettre leur terre à leurs enfants, ni même la gager pour investir. Au nom du peuple, ce sont les hiérarques locaux, fonctionnaires et autres secrétaires du parti qui disposent d'un droit régalien sur le capital «collectif». Ils ont toute autorité pour louer, ou céder une parcelle contre dessous-de-table. Ils sont «les nouveaux seigneurs», écrivent les pétitionnaires du Heilongjiang.

C'est la source de toutes les frustrations. Les paysans n'ont que le droit de se taire et de nouer leur baluchon quand tombe la confiscation au profit d'une ferme d'État, d'une usine chimique, d'une opération immobilière ou d'un parcours de golf. Pékin reconnaît que ces évictions sont la cause première des dizaines de milliers de manifestations, émeutes et autres «incidents de masse», qui secouent chaque année le monde rural.

Cette captation massive du bien public est une boulimie nationale. Depuis que Pékina supprimé les taxes sur l'agriculture en 2003, les administrations locales et les représentants du parti expulsent aussi pour améliorer l'ordinaire. La spéculation foncière aidant, le détournement peut assurer jusqu'à 50 % des dépenses d'administration des grandes villes, confie un proche de la commission de discipline du PC, organe qui tient lieu de Cour des comptes. «À la campagne, cela peut frôler les 100 %.»

Signataire de la proclamation du Shaanxi,le vieux Cheng Zhenghai raconte dans sa bicoque glaciale la descente aux enfers de sa famille. Avant Mao, les Cheng possédaient plus de 40 mous (2,5 hectares). Presque l'aisance. La révolution puis le barrage leur ont tout pris. Avec les réformes des années 1980, ils ont récupéré un bail individuel sur un lopin de 3 mous (0,2 ha). Le ménage survit tout juste en louant au village 6 mous supplémentaires, au prix fort. Les friches libérées par le réservoir peau de chagrin de Sanmenxia n'ont jamais été restituées. L'Armée populaire de libération les utilise en partie comme champ de tir. Une «ferme d'État» occupe le reste, avec un verger de 50 hectares que le chef local de la police s'est taillé sur mesure. Les paysans n'ont pas droit à la terre. Mais d'autres les ont devancés sur la voie d'une privatisation sauvage.

«C'est la terre de mes ancêtres, dit Cheng, 69 ans, sous l'unique ampoule du ménage. C'est à moi qu'il revient de la faire fructifier. Ils l'ont saisie sans rien nous donner en échange. La Constitution affirme que la propriété est collective. Mais ce sont les autres, l'administration locale et les corrompus,qui s'enrichissent sur notre dos.» Contrairement à beaucoup de Chinois, le vieux Cheng a connu l'avant-Mao. Et, à l'inverse de l'autre moitié de la population, il affirme vivre «moins bien» que ses parents. Il est assez déterminé aussi pour laisser paraître son nom. «Je veux récupérer ma terre», dit-il. Dans la presse et sur l'Internet chinois, Pékin a soigneusement caviardé toute référence à la nouvelle revendication paysanne. La seule allusion, indirecte, est venue le 8 janvier d'un communiqué du gouvernement répercuté par l'agence officielle Chine nouvelle : l'État-parti y réaffirme sa prééminence sur la terre agricole, s'oppose à toute privatisation et invite les pouvoirs locaux à réprimer «vigoureusement» les occupations illégales. Sur le fond, le PC peine à expliquer en quoi la privatisation, bonne pour une industrie chinoise qui conquiert les marchés mondiaux, serait mauvaise pour 600 millions de paysans à la traîne du progrès. Malgré la censure officielle, le débat gagne dans les milieux universitaires et aussi, dit-on, à l'intérieurdu parti. Dans un tract qui circule clandestinement au Shaanxi, l'un des organisateurs assure même avoir obtenu «des appuis en haut lieu». Après tout, Mao et les communistes en avaient fait leur slogan : geng zhe you qi tian ! «La terre appartient à celui qui la cultive !»

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2 janvier 2008 3 02 /01 /janvier /2008 08:28
Le Panchen Lama souhaite une réunification au plus tôt de la Chine

Le 11e Panchen Lama Gyaincain Norbu a prié pour une réunification au plus tôt de la Chine lors de sa récente visite dans la province du Fujian en Chine de l'est et qui fait face à Taiwan, séparé par le détroit de Taiwan.

Le Panchen Lama s'est dit convaincu que la Chine était déterminée à réaliser sa réunification nationale au plus tôt sous la direction du Parti communiste chinois (PCC).

Le Bouddha vivant a passé huit jours à Fuzhou, à Putian, à Quanzhou et à Xiamen du 19 au 26 décembre, et a visité nombre de musées commémorant des héros patriotiques de Chine, ainsi que des sites historiques et des entreprises.

Il se dit certain que le peuple multiethnique chinois peut jouir d'une vie heureuse sous la direction du PCC.

Lors de sa visite dans des temples locaux, le Bouddha vivant de 17 ans a appelé ses partisans à aimer le pays et la religion, à sauvegarder la nation et à contribuer au bien-être du peuple, à l'union nationale, à la réunification de la patrie et à l'harmonie sociale.

Gyaincain Norbu, né le 13 février 1990 dans le district de Lhari de la préfecture de Nagqu au nord du Tibet, a été approuvé par le gouvernement central en novembre 1995 comme la réincarnation du 10e Panchen Lama, et ce après un tirage au sort parmi trois candidats dans le temple Jokhang à Lhasa. Il a été intronisé 11e Panchen Lama le 8 décembre 1995.

 

Source: xinhua

No comment bien sur... Et vive le Tibet libre!
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31 octobre 2007 3 31 /10 /octobre /2007 06:16

Et c'est parti! Coup d'envoi des festivites du demenagement vers notre nouvelle usine fait aujourd'hui... en chinese style bien sur, je vous laisse apprecier...

C'etait bien la peine que je joue les spidermans pour leur trouver un systeme convenable...

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8 octobre 2007 1 08 /10 /octobre /2007 13:57
Et voila, de retour de 10 jours de vacances... Dans un style completement different de ce que je fait d'habitude, mais que du bon quand meme!

Direction donc les Philippines, pour 10 jours de calme et de repos, peinard les doigts de pieds en eventail sur la plage, avec palmiers, sable blanc et cocktails... (idée numero un : loin des chinois, de la chine et de tout ce qui va avec...)

Bon, bien sur des vraies vacances en Asie sans petits moments roots, c'est pas de bonnes vacances! On a donc eut droit a 8h de piste dans la jungle dans un bus tape cul, entrecoupée de 2km bonus de marche dans la boue avant de partir à la peche a la ligne sous la flotte, le tout en jouant à cache cache avec deux typhoons... Du grand art! Et surtout de très bon souvenir!

Pour le reste Manile vite fait, le temps d'arriver puis de repartir, avec au passage une nuit blanche pour voir le match de Rugdby enorme France - NZ...
Entre les deux, sur l'ile de Palawan, Puerto Princesa, l'ile paradisiaque de Coco loco puis El Nido et ses falaise rappelant la baie d'Along au vietnam... et surtout celebre pour avoir abrité Koh Lanta de l'année dernière mais aussi "secret island" ou a été tourné "la plage"... Et ouais, on va pas n'importe ou! Bref, tout ça en detail et surtout en photo dans la semaine... Peut etre!




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18 septembre 2007 2 18 /09 /septembre /2007 17:17
Un petit article, principalement pour faire le lien avec une serie de photos prises le WE dernier à deux pas de chez moi.

Les rares personnes ayant déjà visité Fuzhou reconnaitront surement un air famillier à ces photos. Les autres ne verront que des ruines et des visages désolés...

Le dernier quartier du centre de Fuzhou ayant un certain charme ancien, le "lao Fuzhou" est en train de tomber à coup de bulldozer.
Pas de jugement, j'en ai déjà parlé. Y a du bon, y a du moins bon...


Pour comparaison, quelques photos de la même zone, pendant la fete des lanternes puis lors de la visite de mes parents en Avril dernier.
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10 septembre 2007 1 10 /09 /septembre /2007 18:03
Et voila, une bonne chose de faite! Ou du moins une bonne chose de lancée...

La plus part de mes albums photos Chine (et un peu autre)sont maintenant dispo en ligne via Picasa web!

18 albums déjà, a commencer par le Tibet, le
Yunnan, la Thailland, Hong Kong, Beijing, Xian...


L'album sera mis à jour régulierement (Philippines à venir pas plus tard que debut Octobre...), pour rester informé, n'oubliez pas d'activer le flux RSS!

Bonne visite!

PS : Le lien pour les albums sera toujours disponible à droite de l'écran, dans le cadre "en vrac" avec la météo...
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1 septembre 2007 6 01 /09 /septembre /2007 14:03

Aller, hop, un petit article vite fait pas tard pour...


Et bien déjà pour marquer le tout pile milieu de mon contrat. Et oui, ça fait déjà un an que mon VIE a commencé... Encore 6 jours et je fête mes 1 an à Fuzhou. Déjà... C'était le 6 Septembre 2006, après avoir quitté la famille à l'aéroport de Mulhouse et via un premier WE "retrouvaille avec la chine" à Guangzhou, que j'attaquais ma nouvelle vie en Chine, mon premier boulot... Un an déjà... Je ne suis pas très bilan, et pourtant... il y en aurait des choses à dire! Trop sûrement, et comme le dit très justement oliv, "la Chine, ça va plus vite que ça ne ce raconte!"...

Il y aura eu d'abord le lancement du projet en septembre, de suite suivi par 10 jours de vacances, pour retrouver au GP de F1 de Shanghai Oliv, Loic, Junior... Une partie de la "mafia UTBM-A2I" chinoise.
Ca, c'était le début. Le reste? Des vacances et du boulot, et des vacances. Et encore plus de boulot. En gros. Entre les deux, rien de très très excitant, la Chine au quotidien m'intrigue (et m'énerve quand il s'agit du boulot) toujours autant, mais ne me surprend plus beaucoup... Au final donc, niveau vacances, quand même plus de 42 avions pris en 1 an, 2 retours en France, des WE a Guangzhou, a Xiamen, a Shenzhen pour voir les potes, des vacances à Nanjing, Suzhou, Shanghai, Beijing, Xian, Taiyan, Huashan, Pingyao, Haerbin, Qingdao puis plus dans la Chine profonde avec le Yunnan... ma destination préféré du moment. (C’est roots, c'est beau et y a pas de chinois!) Enfin la visite tant attendue de mes parents et du petit dernier fin Avril, avec un parcours découverte qui j'espère les a marqué et leur a permis de découvrir une partie des multiples facettes de ce pays!



Pour les prochaines vacances, je ne compte ma me laisser aller non plus, on réattaque des début octobre avec 10 jours au Vietnam, puis... a voir, mais ça sera la Chine, la Chine de l'ouest, la ou on peut encore trouver de vrais coins sauvages qui méritent le coup d'oeil! Le xinjiang, la route de la soie, la mongolie, Kashgar, le Karakorum, les pentes du K2... En espérant voir mon frangin débarquer fin Aout début Septembre, histoire d'aller taquiner un petit sommet vers les 5500 - 6000, j'ai ma petite idée sur la question...



Voila pour les news... Je n'en ai pas donnée beaucoup depuis mi Juillet... au point de me prendre quelques petites réflexions d'oliv ou de PL par exemple... Bah oui, je suis une feignasse! C'est sûrement la chaleur... ;-) ou le retour en France, les (re)trouvaille avec Martin, l’adorable petit rejeton de ma frangine, les vacances en famille a Samoens, puis le retour au boulot, les emmerdes accumulées, quelques deplacement fournisseurs… et paf, un mois de passé plus vite qu’on dit ouf !



Pour compenser tout ça, non, je ne vais pas promettre de plus écrire, ça je vais juste essayer. Au moins, suite a la découverte d'un nouveau petit joujou du web, je vais essayer de publier certaines de mes 25 000 photos qui traînent sur mon PC... Il s'agit pour les connaisseurs de Picasa Web, que mon bof m'a fait découvrir aujourd'hui... C'est exactement ce qu'il me fallait, j'arrive à uploader une photo en moins de 30s!!!

Des news bientôt la dessus...





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6 juillet 2007 5 06 /07 /juillet /2007 11:59

27 la nuit, 38 le jour, pas de vent, pas de clim dans l'atelier...
80% d'humidité


Voila voila...

Que dire de plus...

Rien. J'ai chaud.
Ah et aussi. Si j'emmigrais en Suede?


YCSUFECPFTLJLCH...

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